lundi 7 avril 2008

Retranscription d'une interview de David Lane (les mises a jour suivront)



Partie 1

Meredith Viera: Si vous pouviez faire un résumé de vos croyances, que diriez-vous ?

David Lane : Et bien, ma croyance, ou plutôt mon éducation, c’est que, pour tous les hommes blancs sains d’esprit, rien d’autre ne doit compter que les 14 mots, « Nous devons assurer l’existence de notre race et un futur pour les enfants blancs. » Ces 14 mots sont le credo des hommes blancs qui résistent.

Meredith : Pourquoi ces mots sont si importants pour vous ?

David Lane : S’il n’y a pas de révolution blanche totale, très, très bientôt, alors la beauté de la femme Aryenne cessera d’exister sur ce continent, et peut être sur cette planète, pour toujours.

Meredith : Pourquoi dites-vous ça ?

David Lane : La population blanche du monde est d’à peu près 8-10%, environs 2-3% de la population est composé de jeunes femmes blanches. Vos medias et le système religieux dans lequel nous vivons font la promotion du métissage de ces quelques blancs avec les autres races. Et votre gouvernement nous refuse une nation blanche, des écoles blanches, des organisations blanches, des quartiers blancs et tout ce qui est nécessaire à la survie d’une race.

Meredith : Ce n’est pas votre gouvernement aussi ?

David Lane : Vous pouvez m’attribuer beaucoup de choses, mais pas d’avoir une quelconque relation avec le gouvernement Américain. Votre gouvernement, si vous considérez qu’il est le vôtre, a traversé ce monde depuis deux siècle, de Dixie à Cuba, à Mexico, à Grenade, plusieurs fois à Panama, une douzaine de fois en Amérique latine, en Italie, deux fois en Allemagne, en Corée, au Vietnam, en Irak, de Montezuma à Tripoli. De Waco, au Texas, à Whibdey Island, à Ruby Ridge, et une centaine d’autres guerres moins connues, d’occupations, d’assassinats dans la création du Novus Ordo Seclorum.

Meredith : Qu’est-ce ?

David Lane : Je pense concrètement que c’est le nouvel ordre de notre temps, George Bush l’appelle le New World Order, qui apparaît sous le grand sceau des Etats-unis, et ce depuis 200 ans, ce cirque mobile a littéralement tué des dizaines de millions de gens, des peuples entiers, détruisant l’intégrité de chaque race, nations et culture du globe dans la création de ce nouvel ordre mondial. Quelques hommes d’honneur, quelque part, devront avoir le courage de mettre fin à cette horreur.

Meredith : Qu’est ce que cela veut dire, quelques hommes d’honneur devront trouver le courage ? que sont-ils supposés faire ?

David Lane : Ce plan diabolique doit être arrêté ou il n’y aura jamais de paix et d’harmonie sur cette terre et ma race ne survivra pas.

Meredith : Mais encore, que voulez vous dire quand vous dites que quelques hommes d’honneur auront à faire quelque chose ? Est ce que ces 14 mots sont un appel àla révolution ?

David Lane : Absolument. Votre gouvernement n’a laissé aucune chance de solution pacifique de survie à ma race. Il a utilisé la 101e aéroportée pour intégrer d’autres races dans nos écoles, l’intégration raciale est juste un euphémisme de « génocide ». Il a utilisé la police pour battre les mères blanches dans une soumission sanglante au sud de Boston quand elles ont résisté au génocide. Votre police a voyagé jusqu'à une montagne isolée quelque part en Idaho pour assassiner une femme et son enfant car ils voulaient vivre avec les leurs et résister au génocide. Alors quelle réponse un homme d’honneur doit avoir ?

Meredith : Quand vous parlez de ça, je peux sentir à quel point ça vous touche rien qu’en regardant vos yeux et à quel point c’est personnel pour vous.

David Lane : Tout à fait.

Meredith : Pouvez vous m’en dire plus sur ce qui vous a amené vers ce point de vue, quels événements ?

David Lane : Je ne pense pas que mon vécu ait un rapport avec ça, la nature donne à tout le monde, toutes les races, un instinct de préservation. Il y a peut être dix ans en arrière, j’ai écrit un recueil de poésie qui a été utilisé à travers le monde sous le nom de « 88 préceptes et 14 mots », et je pense que ce sont ces quelques strophes qui sont appropriées si vous parlez de ma motivation. Elles disent « Enfant Aryen à la peau si claire et aux yeux si bleu et vert, et femmes aux tresses d’or qu’on ne reverra plus jamais, c’est l’effroi qui hante mon âme et exige mon dernier souffle, je dois lutter pour réveiller les miens qui dorment si près de la mort ». Il n’y a pas de plus haut instinct donné à un homme quelle qu’en soit la race que celui de préserver la beauté de ses femmes et l’existence des siens.

Partie 2

Meredith Viera : Mais, ce que je veux dire, c’est que beaucoup de gens qui s’appelleraient eux même « blancs », des membres de la race blanche qui n’appellent pas à la révolution et qui ne croient pas que la race blanche soit en danger d’extinction, vous pensez donc qu’ils se trompent. Qu’est-ce qui vous a amené à cette conclusion, pour la ressentir si passionnément ?

David Lane : Pour bien vous répondre il faudrait revenir sur toute mon éducation, incluant mon éducation religieuse.
L’humanité dans son ensemble consacre sa vie à trouver quelles sont les fausses hypothèses qu’ont lui a appris étant jeune et quelles croyances erronées elle utilise comme des pensées rationnelles. Vos medias, par exemple, utilisent le terme « minorités » pour 90 ou 98% de la population du monde alors que ma race fait face à l’extinction.
La masse, son mode de pensée, est fixé par vos médias, la religion et leur éducation.

Meredith : Si je comprends bien ce que j’ai pu lire sur vous et si c’est correct, c’est alors que vous étiez enfant pendant la 2e guerre mondiale que vous avez commencé à penser « Hitler a vu juste », vous avez eu une sorte d’admiration pour lui.

David Lane : C’est juste.

Meredith : C’est ce que j’essaye de comprendre, et cette personne…

David Lane : Il faudrait comprendre mon enseignement religieux ainsi que les enseignements des anciens et pourquoi certaines personnes ont un objectif ou une cause, que ça soit Alexandre ou Galilée ou qui que ce soit qui agisse.

Meredith : Etes vous une de ces personnes ?

David Lane : Ma cause, c’est d’empêcher l’extermination américaine de la race blanche.

Meredith : Mais ça a été votre cause depuis quand ?

David Lane : Je ne suis pas sur d’en avoir toujours été conscient, si vous lisez mon travail, vous saurez que j’ai ressenti pendant longtemps qu’il y avait quelque chose de terriblement mauvais dans l’environnement du pays, et j’ai passé beaucoup de temps à chercher qui avait le pouvoir. Et si vous voulez savoir pourquoi certaines choses arrivent vous n’avez qu’à trouver qui a le pouvoir. Puis, vous cherchez les motivations plus que tout autre chose pour trouver pourquoi les choses se produisent et voir qui en bénéficie.

Meredith : [inintelligible]

David Lane : Qui en profite ? Et il a fallu du temps. Si vous lisez mes travaux, vous savez que je considère les conservateurs, les gens de droite et les membres de la John Birch Society comme n’étant pas la solution, j’étais de peu d’utilité pour eux, donc ce fut une longue quête.

Meredith : Mais finalement vous en êtes arrivé à la conclusion que l’ennemi ultime était les Juifs.

David Lane : Je préfère le terme « Sionistes ». Je ne suis pas du tout certain que le Juif de base en saches plus sur ce que ses dirigeants font que le Catholique de base en savait sur l’Inquisition, il y a 4, 5 ou 6 siècles. Mais vous ne pouvez pas nier le fait que l’essentiel du pouvoir des medias, de la finance, de l’industrie, de la religion, de la loi, de la politique en Amérique et des principales nations blanches sont entre les mains des Juifs sionistes et qu’ils utilisent ce pouvoir pour mélanger, submerger et exterminer ma race.

Partie 3

Meredith Viera : Mais pourquoi voudraient-ils faire ça ?

David Lane : Et bien, vous devriez leur demander. Moi je ne fais que constater, et c’est indéniable. Je ne peux pas lire dans leur esprit ou connaître leurs motivations, cependant, un peuple métissé – Henry Ford a déclaré qu’il n’y a qu’une façon de se défendre contre les sionistes, à savoir un retour à la fierté raciale. Si un peuple est métissé n’a plus le sens de l’héritage et de la préservation des siens, il devient malléable.
Peut-être que c’est ça, demandez leurs ! L’évidence est là, c’est ce qu’ils font. Pour les raisons profondes, je ne lis pas dans les esprits.

Meredith : Je voudrais revenir sur les 14 mots dont vous avez parlé au début de l’interview, « Nous devons assurer l’existence de notre race et un futur pour les enfants blancs », qui était le credo de The Order.

David Lane : Là, je dois être clair, je ne suis pas qualifié ni même autorisé à parler au nom des autres membres du groupe.

Meredith : Mais est-ce que vous comprenez…

David Lane : Ce que je comprends…Vous voyez, j’ai seulement participé à la première des réunions… En fait, j’étais un petit joueur, mais, plus que tout autre chose, le groupe c’était Bob Mathews. Ce n’était rien d’autre que son mélange de noblesse, de courage et de charisme qui a pu rassembler des esprits si forts et si différents, beaucoup du point de vue religieux, à une cause commune.

Meredith : Mais comment a-t-il été capable de faire ça ?

David Lane : Je crois que Bob Mathews était un de ces hommes envoyés par le destin, avec un incroyable charisme, du courage et il savait que lorsqu’on a une armée de volontaires, il n’y a pas besoin de donner des ordres. Mais si vous avez des hommes avec une certaine dose de noblesse, vous dirigez par l’exemple.
Alors Bob est monté dans sa version du Drakar, une Chevrolet, et a dit « Je vais attaquer l’ennemi, êtes vous avec moi, ou allez vous restez au chaud à la maison ? »

Meredith : Et quand il a dit ça…

David Lane : Le choix était simple, si vous êtes un homme d’honneur, vous allez avec les hommes courageux. Et c’est ce que les Bruder Schveigen ont fait.

Meredith : Vous rappelez vous votre première rencontre avec Bob Mathews ?

David Lane : Je ne me souviens pas de la première fois. Je pense qu’il m’avait écrit quelques fois entre 80 et 81, je ne suis plus certain.

Meredith : Comment vous a-t-il connus, pour vous écrire ?

David Lane : Je crois que j’avais écrit des articles pour différentes publications.

Meredith : Des articles sur ?

David Lane : Oh, politique et religion, plutôt politique.

Meredith : Mais vous le connaissiez ? Il vous a écrit, mais que faisiez vous a ce moment-là, qu’elle était votre implication dans le mouvement ?

David Lane : J’ai passé des années à intégrer de petits groupes dans ce mythique et inexistant mouvement.

Meredith : Inexistant ?

David Lane : Je crois que si quelque chose n’a aucune légitimité et ne va nulle part, qu’elle régresse constamment et perds, je ne lui donnerais pas le nom de « mouvement ». Un mouvement a une dynamique. Je n’ai rien trouvé dans toutes ces années où j’ai cherché, je n’ai rien trouvé.

Meredith : Rien avec la National Alliance, rien avec Aryan Nations, rien avec les autres groupes qui existent, qui font partie du mouvement ? Vous étiez avec Aryan Nations.

David Lane : Ah, j’étais en association avec toutes sortes de groupes. J’ai dû constater que rien ne marchait.

Meredith : Pourquoi leurs efforts ne payaient pas, à votre avis ?

David Lane : Pour le monde entier, le groupe le plus connu est le plus efficace c’est Aryan Nation, qui une fois par an, avec de la chance, peut rassembler 300 personnes.
Ces 300 personnes vont au cinéma du coin pour regarder un film porno. Ce n’est pas un mouvement.

Meredith : Et c’est ce que vous avez vu, dans les années 80 ?

David Lane : C’est ce que j’ai vu dans ce qu’on appelle l’extrême droite depuis 30 ans.

Meredith : Pourquoi pensez vous que c’est ainsi ? Quelle conclusion en avez-vous tiré ?

David Lane : La nature humaine, les medias, l’argent. Moi, par exemple, j’avais une licence dans l’immobilier. Ils me l’ont retiré parce que je ne travaille pas au meurtre de ma race, en faisant la promotion de l’intégration.

Meredith : Vous ne vouliez pas vendre de maison aux noirs.

David Lane : Pas dans les quartiers blancs. C’est un génocide. Rappelez vous, l’intégration raciale, c’est un génocide, forcer l’intégration raciale est un génocide malicieux et délibéré.

Meredith : En refusant de suivre le…

David Lane : Vous devez le faire dans tous les aspects de la vie américaine. Un homme blanc doit trahir l’existence de sa propre race juste pour garder un job.

Meredith : En ne commettant pas cette trahison comme vous dites, vous avez perdu votre travail.

David Lane : C’est exact. C’est le prix que vous devez payer. Tant que les hommes blancs ne rassemblent pas ce qui fait d’eux des hommes et ne font pas preuve d’un peu de courage, c’est une course perdue d’avance.

vendredi 4 avril 2008

Discours final au jury de David Lane



Depuis l'époque de Platon, Socrate et Caton, à celle de De Vinci et Michel-Ange, de Locke et Shakespeare, de Jefferson et Franklin, la civilisation occidentale a jailli du génie créatif d'un seul et même peuple. Dans le vaste panorama du temps, cette période ne fut qu'un moment éphémère et un rêve glorieux. L'avenir proche montrera quelle sorte de civilisation suivra la disparition de l'homme blanc. Quelle tristesse et quelle ironie, que la République américaine, qui fut constituée exclusivement pour la préservation et la promotion de l'homme occidental, soit devenue l'instrument par lequel il a été détruit à la fois ici et dans sa patrie européenne.

Depuis de nombreuses années, j'ai combattu de toutes les manières qui étaient disponibles pour une personne isolée et sans pouvoir, pour briser le rideau de fer des médias et montrer à mon peuple que ces mêmes choses qui sont protégées, favorisées, et qui nous sont imposées par ceux qui contrôlent aujourd'hui les affaires du monde occidental, ont détruit toutes les civilisations que nous avons construites. Je veux parler de choses telles que l'infanticide par l'avortement, une pratique qui a conduit au meurtre de quinze millions de bébés de mon peuple, et qui est protégée par le gouvernement et les tribunaux fédéraux; l'homosexualité, dont les adeptes nous sont imposés comme des modèles, et même comme les enseignants de nos enfants par le gouvernement et les tribunaux fédéraux; et le pire de tout, la destruction délibérée de notre existence raciale elle-même.

Ceux qui ont entrepris de métisser et de détruire les derniers vestiges de l'homme occidental savent très bien qu'aucun peuple ne peut continuer à exister sans une nation bien à lui, pour pouvoir développer, protéger, et valoriser sa propre descendance. Ils savent aussi qu'un peuple qui n'est pas convaincu de sa propre unicité et de sa valeur périra, et c'est pourquoi je suis calomnié et opprimé quand je montre que presque tous les progrès de la condition humaine sont venus de l'esprit fertile de l'homme occidental.

L'homme blanc est à présent une infime minorité dans le monde, et cependant on lui dénie non seulement le droit à une nation à lui, mais aussi l'intégrité de l'impératif territorial nécessaire à sa survie. La culpabilité de ceux qui participent à la destruction de cette race d'hommes ne peut pas être convenablement décrite dans le vocabulaire des mortels. En ce qui concerne les procureurs dans cette affaire, je dis seulement que si la préservation du pouvoir dépend du parjure, alors les procureurs des Etats-Unis sont aussi solide que le Rocher de Gibraltar. Mais si les lois de la Nature tiennent compte des concepts de justice ou de dette karmique, alors ils marchent sur des sables mouvants.

Que ce procès puisse simplement avoir lieu est une violation de toutes les garanties constitutionnelles contre la double peine. Les machinations et les chicaneries légales utilisées pour emprisonner un homme pour une durée potentiellement illimitée, pour le même délit, en changeant la description légale de ce délit, en changeant les juridictions et ainsi de suite, sont complètement répugnantes pour le sens anglo-saxon de la justice, ainsi que totalement contraires à la fois à l'esprit et à l'intention de la Constitution. La frénésie démentielle de ceux qui contrôlent à présent le gouvernement fédéral des Etats-Unis, pour punir et détruire tout homme blanc qui résiste au métissage et au meurtre délibéré de cette race en voie de disparition rapide, est évidente. L'Histoire laisse présager une horreur inexprimable pour la dernière génération d'enfants blancs, si moi et d'autres qui viendront après moi ne réussissent pas mieux à réveiller notre peuple de sa torpeur mortelle. Notre tâche est aussi simple qu'elle est immensément importante: «Nous devons assurer l'existence de notre peuple et un avenir pour les enfants blancs».

Comparé à cet impératif historique primordial, ce que vous me ferez n'a pas d'importance. Je ne suis pas un homme courageux; j'ai vécu les mille morts du philosophe plutôt que la mort unique du soldat. Mais j'ai volontairement recherché ce destin, et je ne reculerai pas devant lui.

Bientôt vous entendrez parler d'un autre qui parlera sans doute de ses croyances religieuses. Peut-être même qu'à cette date tardive, le pouvoir d'une croyance religieuse pourra sauver l'homme occidental, ou peut-être la Divine Providence nous donnera-t-elle un coup de main. Sinon, alors ceux qui se rebellent contre la tyrannie doivent toujours accepter les conséquences avec un haussement d'épaules, ou ils ne sont ni des patriotes ni des hommes.

Je ne dirai rien de plus.

mercredi 2 avril 2008

Interview de Richard Scutari



1)Les fédéraux ont dit que l’organisation (The Order) aurait été beaucoup plus dangereuse si vous l’aviez rejointe un an plus tôt. Quelle était votre position dans l’organisation et quelles compétences avez-vous apporté qui inquiète tant nos ennemis ?

J’étais le premier issu du mouvement racial et le seul membre de The Odrer à être placé sur la liste des dix fugitifs recherchés par le FBI. Cela s’est produit au moment où j’étais le seul membre de The Order encore en fuite.
Pour justifier le fait que j’étais sur cette liste, le FBI a été très inventif et en a rajouté sur mes capacités.
Si j’étais un dixième de ce qu’ils prétendent sur moi, je serais vraiment très dangereux.
Qu’il soit vrai ou non que The Order ait été plus dangereux si je l’avais rejoint un an plus tôt n’est que pure supposition de leur part. On ne peu pas remonter le temps pour le savoir.
Ma fonction à The Order était chef de la sécurité. L’organisation est passé dans la clandestinité au cours de l’année 1983. Je l’ai rejoins en juin 1984, à ce moment, le concept de sécurité (opérer en cellule et quelques autres bases) n’existait pas encore entre les membres de l’Ordre, sauf peut être pour Andrew Barnhill et Bruce Pierce. Toutefois, j’ai été nommé chef de la sécurité car je possédais un détecteur de mensonge, que j’ai apporté avec moi quand j’ai rejoint l’organisation.

Concernant les compétences que j’ai apportées à The Order, il y en a eu plusieurs, mais rien de très important.
J’étais membre de la Navy où j’ai appris le maniement d’explosif. Un an après avoir quitté la Navy, j’ai passé du temps au Niger, en Afrique pendant la guerre du Biafra. J’ai obtenu mon deuxième grade de ceinture noir en Hapkido, le premier grade de ceinture noir en Taekwondo, et le deuxième grade de ceinture brune en Shuri-ryu et Gojo-ryu.
Il a été dit que j’étais un expert en arme a feu. Ce n’est pas tout à fait vrai ; Je suis/j’étais cependant très bon avec certaines armes. J’étais l’instructeur national de self-défense pour l’American Pistol and Rifle Association, une organisation dont plusieurs membres de The Order viennent.
J’ai appris le self-défense ainsi que le combat au fusil d’assaut et au pistolet à différents mouvements rencontrés dans le sud-est.
Dans ma ville natale de Stuart, en Floride, j’ai un stand de tir où tous les blancs intéressés dans l’apprentissage au maniement du fusil d’assaut et au pistolet peuvent venir.
J’ai même eu un enfant de 8 ans qui est venus s’entraîner au pistolet.
Au début de l’année 1980 j’ai passé un peu de temps en Amérique Centrale à faire le garde du corps pour des gens impliqués dans les opérations de guérilla contre les Sandinistes au Nicaragua. Cette opération a été lancée depuis le Costa Rica par les Costaricains et plusieurs mouvements qui n’ont rien avoir avec les contrats qui étaient commandités par le gouvernement américain.
Ceci étant dit je crois que ce qui a causé le plus d’inquiétude à notre ennemi c’est sa capacité innée à faire devenir les gens ce qu’ils sont, et ce qu’ils pensent être, plus intelligent et plus à même de ravaler leur ego pour travailler vers un but commun et bien sûr mon désir et mon dévouement à la cause ; les 14 mots.

2)Pour quels « crimes » êtes vous actuellement incarcérés, pour quelle peine et à quelle date pouvez espérer être libéré ?

Je purge une peine de 20 ans de prison pour RICO (Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act), 20 ans pour entente en vue de commettre des actes de racket et de corruption et 20 ans pour violation de l’amendement Hobbs.
Ces trois peines de 20 ans sont consécutives. En clair, je purge une peine de 60 ans de prison pour ma participation à l’établissement d’une Patrie Blanche dans le Pacific Northwest.
J’ai aussi été jugé pour le meurtre du présentateur radio juif à Denver, dans le Colorado et à nouveau a fort Smith dans l’Arkansas pour conspiration et sédition dans le but de renverser le gouvernement américain dans le but d’établir une nation blanche. Le jury m’a acquitté dans ces deux procès ; cependant, la commission des libérations conditionnelles a utilisé ces accusations pour me refuser la libération conditionnelle. J'ai une date de réexamen en 2015. Si je ne perds pas mes remises de peine, je serais libérable en 2026 après avoir purgé deux tiers de ma peine.

3) Avant de rejoindre The Order, quelle était votre métier et votre situation de famille ?

Avant de m’engager j’étais marié et très heureux. Nous avons une fille et ma plus jeune fille d’un premier mariage vivait avec nous. La plus vieille de mes filles vivait avec sa mère. Ma première femme et moi sommes toujours restés amis et nous échangeons encore des lettres aujourd’hui.
En ce qui concerne ma profession, après avoir quitté la Navy, j’ai travaillé pendant 12 ans en tant que plongeur dans les champs pétrolifères offshore. Je travaillais pendant 150 ou 180 jours par ans. Ce qui me permettait de me consacrer à mes passions, le tir, les arts martiaux et de développer ma capacité de survie.
En 1980, j’ai démissionné de mon emploi et suis retourné en Floride où je me suis lancé dans le business de la construction avec mon frère. J’ai dirigé des équipes de construction de maison jusqu'à ce que je rejoigne The Order en 1984.

4) Qu’est-ce qui vous a poussé à rejoindre l’organisation ? Est ce que c’est un incident particulier ou une accumulation ?

Il y a quantité de facteurs qui m’ont poussés à rejoindre The Order. Cependant, je voudrais dire le principal facteur qui a conduit à la création de The Order et qui me poussera plus tard à le rejoindre, qui est le meurtre de Gordon Kahl par ZOG.
Après ce qui s'est passé, l'atmosphère dans le pays était mûre pour une réponse. J’ai été surpris que le meurtre de Vicky et Sammy Weaver par ZOG n’affecte pas les gens de la même façon.
Après le meurtre de Kahl, j’ai participé à beaucoup de réunions dans différents endroits du Sud Est au cours de desquelles toutes les personnes présentes avaient été soumises à un test polygraphique ou au détecteur de mensonge. Plusieurs personnes à ces réunions sont devenus plus tard des membres de The Order.
En mai 1984, Andrew Barnhill est retourné en Floride et est venu me voir. Il m’a parlé d’un groupe dans le Nord Ouest qui faisait plus que parler. Il a fini par me convaincre de prendre l’avion pour Washington et de rencontrer Bob Mathews pour la première fois. Dix minutes après être arrivé à la maison de Bob, je l’ai soumis à mon détecteur de mensonge.
Quatre jour plus tard, j’étais assermenté dans l’Ordre.

5) Est ce que vous avez des regrets à propos de vos actions ou des doutes concernant la méthode ?

Bien sûr que j’ai des regrets. Je regrette d’avoir perdu ma famille. Je regrette de moisir en prison. Je regrette que les choses ne se soient pas passées autrement. Plus que tout, je regrette que The Order n’ait pas atteins son but. Même si j’ai beaucoup de regrets, je n’ai aucun remords. Quand j’ai pris ma décision de rejoindre The Order, je l’ai fait en totale connaissance des conséquences que cette décision aurait. J’ai senti que l’avenir de mes enfants et de ma race en valait la peine.
Rejoindre The Order fait partie de mon destin. C’est un honneur d’appartenir à une organisation qui a montré au monde ce que notre race est capable de faire face à son extinction planifiée, qu’il y a des gens qui se sont sacrifiés pour empêcher que cela arrive.
The Order n’a peut-être pas atteins ses buts, mais par le sacrifice de ses membres, The Order a donné une nouvelle vie à un mouvement racial à l’agonie.

6) Quelle est votre situation avec la pénitentiaire ? Y a-t-il un moyen de vous aider ?

Je suis actuellement à Florence ADX, qui est une prison de très haute sécurité. En Juin, le document pour mon transfert devrait être envoyé au bureau régional.
Si le transfert est approuvé, je devrais être envoyé dans une prison où je serais mêlé à d’autres détenus, au plus tard en juillet ou en août. J’espère être envoyé au nouveau pénitencier en Floride. Je n’ai pas eu de visite de ma famille depuis 1988.
Cependant, vu la façon dont les fédéraux m’ont gardé enfermé (j’ai été au trou en haute sécurité 15 ans sur les 19 ans de ma captivité) ils vont probablement me transférer de l’autre coté de la rue au pénitencier de moindre sécurité où David Lane est incarcéré.
De cette façon, les fédéraux n’auront pas loin à aller quand ils voudront m’enfermer à nouveau.

7) Où en est votre libération conditionnelle ?

Le 4 septembre 2002, j’ai déposé une demande d’habeas corpus et un mémorandum légal pour la soutenir, contestant les 15 ans que j’ai reçus de la commission des libertés conditionnelles. L’US Attorney a rendu sa réponse le 15 novembre 2002.
Je suppose que le juge a du mal à trouver de quoi contrer ma demande.
Deux des décisions se référaient à l'usage, par la Commission de libération sur parole, des charges portées contre moi quant au meurtre de Berg et au procès pour sédition pour me contrer. Comme je l'ai dit plus haut, j'ai été jugé non coupable à ces deux procès.
J'espère un "ruling ordering" de la part de la Commission de libération sur parole pour me donner l'occasion de me faire entendre à nouveau, pour dire qu'ils ne sont pas autorisés à se servir de quoi que ce soit de ces procès où j'ai été acquitté.
Normalement, cela signifierait ma relaxe sur parole. Cela dit, je suis un white
nationalist, et je ne subis pas un traitement normal.
La Commission de libération sur parole me donnera une nouvelle audience tout en utilisant de nouvelles raisons foireuses qui violeront leurs propres règles pour me coincer et le processus légal continuera comme avant. Cela peut durer des années.

8) Pouvez-vous nous décrire l’environnement dans lequel vous vivez ?

Je suis en phase de pré libération à ADX. Ce n’est pas une libération vers le monde libre de la rue, mais plutôt un transfert vers une prison plus ouverte, bien que de sécurité maximale.
Cette phrase de pré libération est la période la plus facile que j’ai eu à passer depuis ma capture. Il y a 32 cellules dans le block, et il n’y a jamais plus de 24 prisonniers. La drogue n’existe pas ici à ADX, donc tous les problèmes viennent du fait que la dope est absente ici.
Tout le monde essaye d’aller vers les prisons plus ouvertes donc chacun se débrouille.
Bien que ça soit à ADX que le système fédéral envoie les prisonniers les plus violents, il n’y a eu qu’une seule bagarre et aucun meurtre depuis que je suis ici.
Pour l’instant c’est cette phase de pré libération supposée être un passage de l’enfermement total à un régime plus ouvert. Croyez-moi il y a une grosse différence entre ici et la liberté de mouvement que l’on peut avoir dans le régime ouvert.
Les cellules sont ouvertes à 6 heures pour 5 minutes puis toutes les demi-heures ce qui nous permet d’aller sur notre pallier en face de la cellule.
Nous sommes enfermés de 16 heures jusqu'à 20 heures et pour la nuit à 21h30.
Le couloir fait à peu près 25 pieds de large par 100 de long. Il y a une barre de traction et six tables et deux douches tous les deux niveaux.
Je regrette la douche que j’avais dans ma cellule à l’isolement, mais c’est ainsi, j’ai toujours une bonne cellule. Elle mesure 7’ de largeur par 11 et demi avec une dalle en béton pour le lit, un bureau et un tabouret en béton, un casier métallique, des toilettes en métal et un lavabo.
J’ai aussi une télé de 10’’ avec le câble qui me permet aussi d’avoir 9 stations de radio.
Dans mon block, nous mangeons notre nourriture à la cantine sauf le week-end où les repas nous sont amenés sur des plateaux sur des tables sur le palier.
Du lundi au vendredi, nous devons travailler pour la moitié de la journée à l’atelier de la prison. La moitié d’entre nous le matin, l’autre moitié l’après midi, nous inversons chaque mois. Nous avons accès à l’air frais de l’extérieur quatre fois par semaine durant la demi-journée où ne nous travaillons pas.
Comme je l’ai dit plus haut, nous quittons rarement nos cellules.
À part pour le travail, les repas et mon entraînement, je passe la plupart de mon temps dans le monde privé de ma cellule. Je regretterais beaucoup cette intimité quand je quitterais cet endroit.

9) Comment votre famille et vos amis ont vécu votre incarcération et comment êtes-vous aidés des gens de l’extérieur ?

Mon incarcération a fait des ravages dans ma famille. Je suis toujours en contact avec ma mère, mon frère et une de mes trois filles. Pour ce qui est des amis que je m’étais faits avant ma captivité, par la plupart, je n’ai plus de nouvelles.
Beaucoup ce sont mis au vert et ont disparu de la vue de ZOG.
J’ai tout de même pu compter sur le soutien de quelques chefs de mouvement comme Bod Miles et du Dr Pierce qui sont au Valhalla.
Outre le soutien inconditionnel à travers les années de Metzger, je suis en contact avec quelques personnes que j’ai connues avant que The Order ne fasse les gros titres. Depuis ma captivité mon soutien de la rue a été fluctuant, mais il a toujours été là. Il y a eu des mouvements de gens que je n’ai jamais rencontrés personnellement, qui, au fil des années, sont devenus comme une famille pour moi. Contrairement à l’écrasante majorité des prisonniers, j’ai été enfermé quasiment pour les 17 dernières années et je n’ai pas eu la possibilité de gagner les quelques dollars des prisonniers au travail.
Quoi qu’il en soit, grâce aux soutiens du mouvement, j’ai pu faire sans.

10) Quelle est votre évaluation actuelle du mouvement ? Avez-vous des conseils, des critiques, des réflexions ?

Le mouvement dans ce pays a perdu ses perspectives et est vite devenu une vaste blague, pour le plus grand bonheur de notre ennemi.
La vérité c’est qu’il n’y a qu’une seule méthode pour que notre race survive.
Il n’y a qu’une seule méthode pour que les enfants blancs aient un futur.
Ceci n’est possible que si notre race obtient, par tous les moyens nécessaires, une collectivité territoriale, en d’autres termes, une patrie blanche sous notre contrôle.
C’est un fait. Toutes les vantardises, les postures, les slogans ne changeront rien à ce fait.
Il n’y a qu’une façon d’obtenir cette patrie blanche, malheureusement le mouvement actuel n’a pas le courage d’agir dans ce sens.

Le mouvement prétend honorer la mémoire de The Order, mais quant est-il vraiment ?
Quand vous honorez quelque chose, vous l’imitez.
Toute l’existence de The Order était tendue vers un seul but, établir une communauté blanche dans le Pacific Northwest. À un moment, beaucoup de publications du mouvement ont communiqué cette idée.
Aujourd’hui, il ne s’agit plus que de dire que ZOG est devenu fou et ne nous permet plus de tenir nos réunions et de faire des concerts.

Je crois vraiment que le mouvement devrait se battre contre lui-même plutôt que contre ZOG.
Je suppose que c’est parce que c’est plus facile ainsi, ça évite d’avoir à faire de vrais sacrifices.
Les Internet warriors des chat-rooms doivent être pendus et les petites chamailleries prendre fin.

Je n’ai jamais rencontré personne avec qui j’étais d’accord à 100% et je doute que ça arrive un jour. Mais ça ne m’a jamais empêché de travailler avec d’autres vers le même but. The Order était constitué de membres qui venaient de toutes les factions du mouvement qui existaient a ce moment.
Considérez les différentes factions du mouvement racial comme une main ouverte avec les doigts écartés. Certains sont plus grands et plus forts. Chaque doigt a sa fonction, mais chacun fait partie de l’ensemble. Chacun séparément peut être facilement brisé, mais quand on les rassemble en un seul poing, ils deviennent une arme très puissante.
Aujourd’hui notre mouvement racial est cette main ouverte.
Mais contrairement aux doigts de la main, qui se complètent les un les autres, les différentes parties du mouvement sont constamment en train de s’attaquer.
C’est un signe de faiblesse qui doit bien faire rire notre ennemi.

Quand il existe des documents prouvant que certains sont des indics, comme Glen Miller, lui et ceux qui le soutiennent doivent être dénoncés pour nous protéger.
Mais personne dans le mouvement ne devrait être pris à attaquer nos dirigeants, nos organisations, nos stratégies nos croyances religieuses etc. simplement parce qu’ils ne sont pas d’accord.
Ces différents problèmes devront se régler quand nous aurons gagné.
Pour le moment, chacun d’eux est un des doigts de la main, et chacun réveille les lobotomisés de la masse blanche.
Ainsi, chaque doigt apporte sa force au poing, ça sera la coopération entre ces différents groupes, et non la stratégie de leurs dirigeants, qui établira le réseau nécessaire pour produire le prochain Robert Mathews qui fermera cette main en un poing pour créer notre nation blanche.
Rappelez vous que rien n’importe plus que l’entretiens, la préservation et la perpétuation de notre Race. Si notre Race meurt, peu importera pourquoi elle est morte, d’où elle est venus, ou ce qu’elle a cru quand elle existait encore.
Je le répète, la seule chance de survie de notre race est d’avoir une nation à elle.

11) Un commentaire à faire à la nouvelle génération ?

J’ai un instinct tribal et je suis très fier de savoir que les plus jeunes générations ont une conscience raciale et participent activement dans la lutte pour que les 14 mots soient connus des notres, ma famille étendue.
Ma génération a eu son tour et l’a joué. La survie de notre race est maintenant entre les mains de votre génération, qui a une meilleure conscience des problèmes que notre race doit affronter, et vous vous démenez avec les 14 mots mieux que ma génération ne la fait à votre age.
La tache à laquelle vous devez vous atteler est une tâche immense, si vous voulez que notre race survive, vous devez faire naître une nouvelle nation blanche.
Et comme toutes les naissances, la naissance d’une nouvelle nation se fera dans la douleur et dans le sang.
Votre génération, si elle se lève et accomplis cette tâche, sera dans l’histoire de notre peuple la plus glorieuse génération blanche qui n’ai jamais existé.

12) Un dernier mot ?

Je voudrais vous remercier pour le soutien que vous m’avez apportés pendant toutes ces années, c’est ce genre de soutiens qui me fait dire que notre sacrifice n’a pas été vain.
Je vous salue et tous ceux qui sont activement impliqués dans la lutte pour faire des 14 mots une réalité.

Richard Scutari

dimanche 30 mars 2008

Déclaration de guerre au congrès americain



Déclaration de guerre

Vous n’êtes pas seulement responsables collectivement de ce qui est arrivé à l’Amérique, mais chacun d’entre vous, sans exception, est en partie responsable. Et le jour viendra où chacun d’entre vous sera appelé à répondre de cette responsabilité.

Le jour viendra où vous aurez à répondre de votre complicité dans l’abandon des 55 000 Américains qui ont été sacrifiés au Vietnam. Que vous ayez été un faucon ou une colombe n’aura pas beaucoup d’importance. Tout ce qui comptera sera que vous vous amusiez à faire de la politique pendant qu’ils mouraient. Tout ce que nous vous demanderons, c’est pourquoi vous avez failli à votre responsabilité envers eux et l’Amérique, pourquoi vous n’avez pas utilisé les pleins moyens de vos pouvoirs pour dénoncer la trahison de vos collègues.

Le jour viendra où vous aurez à répondre de votre allégeance au lobby israélien anti-américain.Vos votes pour fournir des arsenaux américains afin que les sionistes puissent prendre une terre volée ; votre allégeance à une politique qui nous a aliéné tous nos amis arabes, mettant en péril nos intérêts pétroliers et menant à la banqueroute toute notre économie nationale : ces choses-là sont inexcusables. Et vous aurez beau dire que « vous deviez le faire », ou que la pression juive sur vous était trop grande pour que vous puissez résister, rien de cela ne vous acquittera.

Le jour viendra – si l’Amérique survit – où vous aurez à payer pour avoir rendu l’Amérique malade tout en renforçant nos ennemis communistes partout sur la planète. Et n’essayez pas de nous dire que seul Henry Kissinger est à blâmer pour ça. Vous auriez pu l’arrêter comme bon vous semblait.

Le jour viendra où, par-dessus tout, vous aurez à payer pour la trahison de votre race. La plupart d’entre vous diront que vous étiez contre les écoles multiraciales, que vous étiez contre la terreur nègre qui envenime les rues de nos villes, que vous étiez contre la « discrimination positive » qui prive des Blancs d’emploi donnés à des noirs, que vous étiez contre l’invasion de l’Amérique par l’immigration illégale, parce que vous savez que ce n’est pas populaire. Le fait est que vous nous avez fait subir tout cela quand même. (…) C’est votre course après le vote noir et votre couardise vis-à-vis des médias contrôlés qui font que nos villes sont devenues des jungles infestées de criminels. Vous avez élaboré l’idée que les employeurs devaient avoir des quotas raciaux. Et vous avez fait passer les lois sur l’immigration qui ont permis aux immigrés non-blancs de venir en Amérique --- une situation qui est désormais incontrôlable.

Nous vous tenons responsable pour tout cela ; pour chaque enfant blanc terrorisé dans une école multiraciale, pour chaque personne blanche assassinée dans une de nos jungles urbaines, pour chaque femme blanche violée par un de ces arrogants « égaux » qui traînent dans nos rues, pour chaque famille blanche pauvre et désespérée parce que travailleur blanc a vu son travail donné à un noir. Chaque jour la liste s’allonge, mais le jour viendra où l’addition sera faite et vous aurez à payer pour chacune de ces trahisons.

N’essayez pas de nous expliquer que parfois vous ayez « bien » voté, que gouverner c’est un jeu où l’on prend et où l’on donne, et que vous aviez à voter pour de mauvaises lois pour pouvoir ensuite voter pour des bonnes. La seule chose qui nous importe est que vous avez collectivement ruiné l’Amérique et mis notre race toute entière en jeu.

Nous savons ce que l’Amérique était et ce qu’elle pourrait être aujourd’hui. Et nous pouvons voir ce qu’elle est au contraire devenue --- et vous avez présidé à cette transformation. Nous avons placé notre confiance en vous, nous vous avons donné la responsabilité de notre futur, et vous nous avez trahis.

Vous savez comment mentir de manière convaincante, comment parler avec des phrases à double sens, comment retourner vos vestes sans ciller, mais quand finalement le peuple américain se réveillera et demandera justice, aucune de vos petites astuces ne vous sauvera.

Que vous ayez été un instigateur de la trahison ou juste un exécutant, cela fera peu de différence pour nous. Nous n’avons pas l’intention d’écouter vos excuses, comme quoi vous étiez ralliés à nos côtés depuis le début… Nous nous rappellerons seulement que vous auriez pu arrêter ce qui est arrivé à l’Amérique et que, pour une raison ou pour une autre, vous ne l’avez pas fait.

Non, lorsque le jour viendra, nous ne vous demanderons pas si vous avez voté à gauche ou à droite ; nous vous pendront simplement par le cou.

Toutes ces choses étant dites, laissons la bataille commencer.

Nous, en pleine conscience et sans aucune pression, signons délibérément ce document de notre totale et entière volonté, établissant fièrement et sans peur : nous déclarons un état de guerre total et sans compromis à toutes ces forces qui consciemment conduisent à la destruction de notre race.

Pour le Sang, le Sol et l’Honneur, pour le futur de nos enfants, et pour notre Roi Jésus-Christ, nous nous engageons dans la bataille. Amen.

Signature des membres

Robert Jay Mathews




J'ai proposé cet article à Wikipédia, à vous de le compléter ou le corriger si nécessaire.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Jay_Mathews





Robert Jay Mathews (16 Janvier 1953 – 8 Décembre 1984) était le chef d’un groupe terroriste néo-nazi américain appelé The Order. Sa vie a été portée à l’écran dans le film Brotherhood of Murder.

Premières années

Robert Mathews est né à Marfa, au Texas, le 16 Janvier 1953, il est le dernier des trois garçons de Johnny et Una Mathews.
Son père, d’origine écossaise, était maire de la ville, président de la chambre de commerce, homme d’affaire et chef de l’église méthodiste locale.

Sa famille a déménagé a Phoenix en Arizona quand il a eu 5 ans. Elève moyen à l’école primaire, il s’intéresse à l’histoire et à la politique. À l’age de 11 ans, il rejoint le John Birch Society.
Au lycée, il reçoit le baptême de la foi Mormon. Il devient alors anti-communiste et actif par les jeunes républicains.

Il forme les Sons of Liberty, une organisation anti-communiste qui choisit ses membres parmi les Mormons et les survivalistes. À son apogée, l’organisation comptera approximativement 30 membres.
Après avoir falsifié un formulaire d’employeur revendiquant 10 employés (ce qu’il considérait comme résistance aux impôts), il est arrêté pour fraude, jugé et mis en probation pour six mois.
Après un différent entre les membres Mormons et non Mormons, les Sons of Liberty stagnent et Mathews les quittes.

Quand sa période de probation se termine en 1974, il décide de déménager a Metaline Falls, dans l’État de Washington. Mathews et son père achètent 60 arpents de forets, qui deviendront leur nouvelle maison et permis a la famille de recommencer sur de bonnes bases.

Deux ans plus tard, Mathews se marrie avec Debbie McGarrity. Le couple adopte un enfant en 1981. Mathews aura plus tard une fille avec une femme appelée Zillah Craig.

The Order

Mathews s’intéresse de plus en plus à la politique et à l’histoire. Un livre en particulier, Wich Way Western Man ? de William Gayley Simpson, l’a profondément marqué.
Mathews adhère à l’analyse que fait l’auteur des dangers que cours la race blanche, et en 1982 il milite pour attirer des familles blanches dans le Pacific Northwest, appelé le « Bastion Blanc Américain ».
Il rencontre Richard Butler’s d’Aryan Nations à plusieurs reprises et se constitue un cercle d’ami aux idées similaires.
En 1983, Mathews fait un discours à la convention de la National Alliance, dans lequel il parle de ses efforts pour le Bastion Blanc Américain et appelle à l’action. Il reçoit la seule et unique « standing ovation » de la convention.
En Septembre de cette même année, dans une maison qu’il a construite sur sa propriété de Metaline, Mathews fonde avec 8 autres membres, le groupe qui sera connus plus tard sous le nom de The Order, qu’il appelle « the Silent Brotherhood ». Qui comprend son ami et voisin, Ken Loff, et un groupe venant d’Aryan Nations : Dan Bauer, Randy Duey, Denver Parmenter et Bruce Pierce. Viennent ensuite David Lane, Richie Kemp et Bill Soderquist.
Aucun n’a commis de crime violent avant ni effectué de séjour en prison.

La première partie du plan de Mathews consiste à récupérer de l’argent pour financer l’action terroriste de The Order. C’est alors qu’ils commettent leur premier vol à main armée (un sex shop à Spokane) qui rapporte 369 $. Conscients que le jeu n’en valait pas la chandelle, ils portent leur attention sur le braquage de fourgons blindés et la fausse monnaie. Ils impriment des billets de 50 $ et Pierce, alors âgé de 20 ans, est arrêté en tentant d’en écouler.

Afin de payer la caution de Pierce, Mathews, agissant seul, braque une bande au nord de Seattle. Il vole 26 000 $. Plusieurs membres de The Order, dont la nouvelle recrue, Gary Yarborough, commettent de nombreux autres braquages qui rapportent autour de 43 000$. Un autre rapportera plus d’une centaine de milliers de dollars.
Une autre recrue, Tom Martinez, a été arrêtée et inculpée pour avoir essayé d’écouler de la fausse monnaie.
En Juillet 1984, The Order attaque un camion de la Brink’s et empoche la somme de 3 800 000 $.
L’argent a été distribué à diverses associations d’extrême droite américaines.

La fin

Mathews et d’autres membres de The Order ont été dénoncés par Martinez, qui a parlé sous la pression des accusations qui pesaient sur lui sur l’affaire de contrefaçon.
Après avoir recoupé les informations, le FBI se lance à la recherche de Mathews et de ses hommes.
Mais le temps de monter l’opération les complices de Mathews ont eu le temps de se réfugier dans des planques qui n’étaient pas encore découvertes.
Mathews en revanche est encerclé dans une petite maison de Coupeville, dans l’État de Washington sur l’île de Whidbey par plus de 500 agents, le 8 Décembre 1984.
Mathews refuse de se rendre après une première fusillade, en conséquence, le FBI tire des dizaines de grenades fumigènes et de nombreuses balles, mais Mathews est équipé d’un masque à gaz. Le FBI décide alors de déclencher un tir de M-79 et de grenades à main.
Mathews, blessé a la main continue de faire feu sur les agents alors que la maison brûle, mais le tire s’interrompt soudain.
Apres que le feu se soit éteint, les recherches ont pu commencer et les agents ont trouvé le corps de Mathews près d’une baignoire avec le symbole d’or de The Order incrusté dans la poitrine.
75 personnes, jugées dans 8 procès différents, ont été inculpées des crimes en relation avec The Order pour des chefs d’accusations comme conspiration, racket, contrefaçon de monnaie, transport de fausse monnaie et attaque de fourgon blindé.Dix personnes liées au dossier, incluant Butler, Lane et Pierce, étaient accusées de sédition, mais ont été acquittées par le jury.