lundi 7 avril 2008

Retranscription d'une interview de David Lane (les mises a jour suivront)



Partie 1

Meredith Viera: Si vous pouviez faire un résumé de vos croyances, que diriez-vous ?

David Lane : Et bien, ma croyance, ou plutôt mon éducation, c’est que, pour tous les hommes blancs sains d’esprit, rien d’autre ne doit compter que les 14 mots, « Nous devons assurer l’existence de notre race et un futur pour les enfants blancs. » Ces 14 mots sont le credo des hommes blancs qui résistent.

Meredith : Pourquoi ces mots sont si importants pour vous ?

David Lane : S’il n’y a pas de révolution blanche totale, très, très bientôt, alors la beauté de la femme Aryenne cessera d’exister sur ce continent, et peut être sur cette planète, pour toujours.

Meredith : Pourquoi dites-vous ça ?

David Lane : La population blanche du monde est d’à peu près 8-10%, environs 2-3% de la population est composé de jeunes femmes blanches. Vos medias et le système religieux dans lequel nous vivons font la promotion du métissage de ces quelques blancs avec les autres races. Et votre gouvernement nous refuse une nation blanche, des écoles blanches, des organisations blanches, des quartiers blancs et tout ce qui est nécessaire à la survie d’une race.

Meredith : Ce n’est pas votre gouvernement aussi ?

David Lane : Vous pouvez m’attribuer beaucoup de choses, mais pas d’avoir une quelconque relation avec le gouvernement Américain. Votre gouvernement, si vous considérez qu’il est le vôtre, a traversé ce monde depuis deux siècle, de Dixie à Cuba, à Mexico, à Grenade, plusieurs fois à Panama, une douzaine de fois en Amérique latine, en Italie, deux fois en Allemagne, en Corée, au Vietnam, en Irak, de Montezuma à Tripoli. De Waco, au Texas, à Whibdey Island, à Ruby Ridge, et une centaine d’autres guerres moins connues, d’occupations, d’assassinats dans la création du Novus Ordo Seclorum.

Meredith : Qu’est-ce ?

David Lane : Je pense concrètement que c’est le nouvel ordre de notre temps, George Bush l’appelle le New World Order, qui apparaît sous le grand sceau des Etats-unis, et ce depuis 200 ans, ce cirque mobile a littéralement tué des dizaines de millions de gens, des peuples entiers, détruisant l’intégrité de chaque race, nations et culture du globe dans la création de ce nouvel ordre mondial. Quelques hommes d’honneur, quelque part, devront avoir le courage de mettre fin à cette horreur.

Meredith : Qu’est ce que cela veut dire, quelques hommes d’honneur devront trouver le courage ? que sont-ils supposés faire ?

David Lane : Ce plan diabolique doit être arrêté ou il n’y aura jamais de paix et d’harmonie sur cette terre et ma race ne survivra pas.

Meredith : Mais encore, que voulez vous dire quand vous dites que quelques hommes d’honneur auront à faire quelque chose ? Est ce que ces 14 mots sont un appel àla révolution ?

David Lane : Absolument. Votre gouvernement n’a laissé aucune chance de solution pacifique de survie à ma race. Il a utilisé la 101e aéroportée pour intégrer d’autres races dans nos écoles, l’intégration raciale est juste un euphémisme de « génocide ». Il a utilisé la police pour battre les mères blanches dans une soumission sanglante au sud de Boston quand elles ont résisté au génocide. Votre police a voyagé jusqu'à une montagne isolée quelque part en Idaho pour assassiner une femme et son enfant car ils voulaient vivre avec les leurs et résister au génocide. Alors quelle réponse un homme d’honneur doit avoir ?

Meredith : Quand vous parlez de ça, je peux sentir à quel point ça vous touche rien qu’en regardant vos yeux et à quel point c’est personnel pour vous.

David Lane : Tout à fait.

Meredith : Pouvez vous m’en dire plus sur ce qui vous a amené vers ce point de vue, quels événements ?

David Lane : Je ne pense pas que mon vécu ait un rapport avec ça, la nature donne à tout le monde, toutes les races, un instinct de préservation. Il y a peut être dix ans en arrière, j’ai écrit un recueil de poésie qui a été utilisé à travers le monde sous le nom de « 88 préceptes et 14 mots », et je pense que ce sont ces quelques strophes qui sont appropriées si vous parlez de ma motivation. Elles disent « Enfant Aryen à la peau si claire et aux yeux si bleu et vert, et femmes aux tresses d’or qu’on ne reverra plus jamais, c’est l’effroi qui hante mon âme et exige mon dernier souffle, je dois lutter pour réveiller les miens qui dorment si près de la mort ». Il n’y a pas de plus haut instinct donné à un homme quelle qu’en soit la race que celui de préserver la beauté de ses femmes et l’existence des siens.

Partie 2

Meredith Viera : Mais, ce que je veux dire, c’est que beaucoup de gens qui s’appelleraient eux même « blancs », des membres de la race blanche qui n’appellent pas à la révolution et qui ne croient pas que la race blanche soit en danger d’extinction, vous pensez donc qu’ils se trompent. Qu’est-ce qui vous a amené à cette conclusion, pour la ressentir si passionnément ?

David Lane : Pour bien vous répondre il faudrait revenir sur toute mon éducation, incluant mon éducation religieuse.
L’humanité dans son ensemble consacre sa vie à trouver quelles sont les fausses hypothèses qu’ont lui a appris étant jeune et quelles croyances erronées elle utilise comme des pensées rationnelles. Vos medias, par exemple, utilisent le terme « minorités » pour 90 ou 98% de la population du monde alors que ma race fait face à l’extinction.
La masse, son mode de pensée, est fixé par vos médias, la religion et leur éducation.

Meredith : Si je comprends bien ce que j’ai pu lire sur vous et si c’est correct, c’est alors que vous étiez enfant pendant la 2e guerre mondiale que vous avez commencé à penser « Hitler a vu juste », vous avez eu une sorte d’admiration pour lui.

David Lane : C’est juste.

Meredith : C’est ce que j’essaye de comprendre, et cette personne…

David Lane : Il faudrait comprendre mon enseignement religieux ainsi que les enseignements des anciens et pourquoi certaines personnes ont un objectif ou une cause, que ça soit Alexandre ou Galilée ou qui que ce soit qui agisse.

Meredith : Etes vous une de ces personnes ?

David Lane : Ma cause, c’est d’empêcher l’extermination américaine de la race blanche.

Meredith : Mais ça a été votre cause depuis quand ?

David Lane : Je ne suis pas sur d’en avoir toujours été conscient, si vous lisez mon travail, vous saurez que j’ai ressenti pendant longtemps qu’il y avait quelque chose de terriblement mauvais dans l’environnement du pays, et j’ai passé beaucoup de temps à chercher qui avait le pouvoir. Et si vous voulez savoir pourquoi certaines choses arrivent vous n’avez qu’à trouver qui a le pouvoir. Puis, vous cherchez les motivations plus que tout autre chose pour trouver pourquoi les choses se produisent et voir qui en bénéficie.

Meredith : [inintelligible]

David Lane : Qui en profite ? Et il a fallu du temps. Si vous lisez mes travaux, vous savez que je considère les conservateurs, les gens de droite et les membres de la John Birch Society comme n’étant pas la solution, j’étais de peu d’utilité pour eux, donc ce fut une longue quête.

Meredith : Mais finalement vous en êtes arrivé à la conclusion que l’ennemi ultime était les Juifs.

David Lane : Je préfère le terme « Sionistes ». Je ne suis pas du tout certain que le Juif de base en saches plus sur ce que ses dirigeants font que le Catholique de base en savait sur l’Inquisition, il y a 4, 5 ou 6 siècles. Mais vous ne pouvez pas nier le fait que l’essentiel du pouvoir des medias, de la finance, de l’industrie, de la religion, de la loi, de la politique en Amérique et des principales nations blanches sont entre les mains des Juifs sionistes et qu’ils utilisent ce pouvoir pour mélanger, submerger et exterminer ma race.

Partie 3

Meredith Viera : Mais pourquoi voudraient-ils faire ça ?

David Lane : Et bien, vous devriez leur demander. Moi je ne fais que constater, et c’est indéniable. Je ne peux pas lire dans leur esprit ou connaître leurs motivations, cependant, un peuple métissé – Henry Ford a déclaré qu’il n’y a qu’une façon de se défendre contre les sionistes, à savoir un retour à la fierté raciale. Si un peuple est métissé n’a plus le sens de l’héritage et de la préservation des siens, il devient malléable.
Peut-être que c’est ça, demandez leurs ! L’évidence est là, c’est ce qu’ils font. Pour les raisons profondes, je ne lis pas dans les esprits.

Meredith : Je voudrais revenir sur les 14 mots dont vous avez parlé au début de l’interview, « Nous devons assurer l’existence de notre race et un futur pour les enfants blancs », qui était le credo de The Order.

David Lane : Là, je dois être clair, je ne suis pas qualifié ni même autorisé à parler au nom des autres membres du groupe.

Meredith : Mais est-ce que vous comprenez…

David Lane : Ce que je comprends…Vous voyez, j’ai seulement participé à la première des réunions… En fait, j’étais un petit joueur, mais, plus que tout autre chose, le groupe c’était Bob Mathews. Ce n’était rien d’autre que son mélange de noblesse, de courage et de charisme qui a pu rassembler des esprits si forts et si différents, beaucoup du point de vue religieux, à une cause commune.

Meredith : Mais comment a-t-il été capable de faire ça ?

David Lane : Je crois que Bob Mathews était un de ces hommes envoyés par le destin, avec un incroyable charisme, du courage et il savait que lorsqu’on a une armée de volontaires, il n’y a pas besoin de donner des ordres. Mais si vous avez des hommes avec une certaine dose de noblesse, vous dirigez par l’exemple.
Alors Bob est monté dans sa version du Drakar, une Chevrolet, et a dit « Je vais attaquer l’ennemi, êtes vous avec moi, ou allez vous restez au chaud à la maison ? »

Meredith : Et quand il a dit ça…

David Lane : Le choix était simple, si vous êtes un homme d’honneur, vous allez avec les hommes courageux. Et c’est ce que les Bruder Schveigen ont fait.

Meredith : Vous rappelez vous votre première rencontre avec Bob Mathews ?

David Lane : Je ne me souviens pas de la première fois. Je pense qu’il m’avait écrit quelques fois entre 80 et 81, je ne suis plus certain.

Meredith : Comment vous a-t-il connus, pour vous écrire ?

David Lane : Je crois que j’avais écrit des articles pour différentes publications.

Meredith : Des articles sur ?

David Lane : Oh, politique et religion, plutôt politique.

Meredith : Mais vous le connaissiez ? Il vous a écrit, mais que faisiez vous a ce moment-là, qu’elle était votre implication dans le mouvement ?

David Lane : J’ai passé des années à intégrer de petits groupes dans ce mythique et inexistant mouvement.

Meredith : Inexistant ?

David Lane : Je crois que si quelque chose n’a aucune légitimité et ne va nulle part, qu’elle régresse constamment et perds, je ne lui donnerais pas le nom de « mouvement ». Un mouvement a une dynamique. Je n’ai rien trouvé dans toutes ces années où j’ai cherché, je n’ai rien trouvé.

Meredith : Rien avec la National Alliance, rien avec Aryan Nations, rien avec les autres groupes qui existent, qui font partie du mouvement ? Vous étiez avec Aryan Nations.

David Lane : Ah, j’étais en association avec toutes sortes de groupes. J’ai dû constater que rien ne marchait.

Meredith : Pourquoi leurs efforts ne payaient pas, à votre avis ?

David Lane : Pour le monde entier, le groupe le plus connu est le plus efficace c’est Aryan Nation, qui une fois par an, avec de la chance, peut rassembler 300 personnes.
Ces 300 personnes vont au cinéma du coin pour regarder un film porno. Ce n’est pas un mouvement.

Meredith : Et c’est ce que vous avez vu, dans les années 80 ?

David Lane : C’est ce que j’ai vu dans ce qu’on appelle l’extrême droite depuis 30 ans.

Meredith : Pourquoi pensez vous que c’est ainsi ? Quelle conclusion en avez-vous tiré ?

David Lane : La nature humaine, les medias, l’argent. Moi, par exemple, j’avais une licence dans l’immobilier. Ils me l’ont retiré parce que je ne travaille pas au meurtre de ma race, en faisant la promotion de l’intégration.

Meredith : Vous ne vouliez pas vendre de maison aux noirs.

David Lane : Pas dans les quartiers blancs. C’est un génocide. Rappelez vous, l’intégration raciale, c’est un génocide, forcer l’intégration raciale est un génocide malicieux et délibéré.

Meredith : En refusant de suivre le…

David Lane : Vous devez le faire dans tous les aspects de la vie américaine. Un homme blanc doit trahir l’existence de sa propre race juste pour garder un job.

Meredith : En ne commettant pas cette trahison comme vous dites, vous avez perdu votre travail.

David Lane : C’est exact. C’est le prix que vous devez payer. Tant que les hommes blancs ne rassemblent pas ce qui fait d’eux des hommes et ne font pas preuve d’un peu de courage, c’est une course perdue d’avance.

Aucun commentaire: